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La voix active

On parle de la voix active quand le sujet est désigné comme le point de départ de l'événement exprimé par le verbe : le sujet fait l’action indiqué par le verbe la tournure utilisée est alors celle qu'on trouve traditionnellement dans les tableaux de conjugaison.
Exemple :
Il mange une pomme.
S V COD
Il dort.
S V 
On parle de voix passive lorsque le sujet ne désigne pas le point de départ de l'événement exprimé par le verbe mais son objet : le sujet subit l’action indiqué par le verbe.
La voix passive n'est donc possible qu'avec les verbes transitifs directs, c'est-à-dire pouvant être construits à la voix active avec un complément d'objet direct.
Exemple : 
Le piéton a été renversé par la voiture.
S V complément d'agent

Amener les enfants à lire

Pour tous les médiateurs, qu'ils soient enseignants, éducateurs, bibliothécaires, parents, etc., ce jeu représente un appui pour introduire les enfants dans une communauté de lecteurs, conforter leurs connaissances, encourager la réalisation d'un carnet de lecteur, élaborer de nouveaux projets de lecture.
Chacun est invité à enrichir ce jeu :
en utilisant le matériel mis à sa disposition en ligne
en organisant des séances de jeu à partir d'une sélection d'ouvrages réunis autour d'un thème, d'une constellation, en lien avec un projet
en réalisant des fiches nouvelles à partir des œuvres rencontrées dans leur parcours de lecture et en associant les enfants à leur élaboration
Les idées émises à l'occasion des séances de jeu, les informations recueillies, les propositions formulées, les témoignages des pratiques réelles de lecture des enfants aideront à enrichir l'offre que chaque médiateur propose aux jeunes lecteurs.
Mon livre préféré : jouer en ligne
http://www.avousdelire.fr/edition-2011/mon-livre-prefere
Le jeu à imprimer : plateau, règles, enseignants, cartes….
http://www.avousdelire.fr/2010/medias/mon_livre_prefere/mon_livre_prefere.zip
Enseigner à la littérature et aiguiser leur désir de lire.
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_mediatheque/?p=4477
Le SCÉRÉN CNDP et la rédaction de J’aime lire s’associent pour éditer le livret Pour que votre enfant aime lire destiné aux parents d’élèves de CP.
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=3890
La littérature à l’école – Liste de référence cycle 2 & 3 – 2013
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=4809
Il était une histoire… Faire grandir le désir de livre
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_mediatheque/?p=1567
Je Lis Libre : des livres gratuits pour les 10 à 14 ans
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=4847

source:http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=4878

Mon enfant n’aime pas lire, que puis-je faire ?

L’apprentissage de la lecture ne se fait pas du jour au lendemain. Il faut franchir plusieurs étapes, au bout desquelles l’enfant deviendra un lecteur autonome et lira avec facilité.
Un enfant peut commencer son apprentissage de la lecture lorsqu’il est très jeune, généralement pendant la période préscolaire, et c’est même la meilleure période pour commencer. C’est lorsqu’ils sont très jeunes que les enfants sont les plus aptes à commencer à acquérir les habiletés de base de la lecture. De fait, les enfants commencent à apprendre à lire à la maison. Très tôt, ils découvrent les livres, ils jouent avec la langue et ils apprennent à mieux se connaître lorsqu’un
adulte leur lit un livre ou joue avec eux. Lire la suite dans ce guide…
(Source Le ministère de l'Éducation du Manitoba)
Pour aller plus loin :
Que se passe-t-il pour l’apprentissage de la lecture au primaire ? : une plateforme complète de vidéos et de fiches pédagogiques couvre une année d’apprentissage au CP, à consulter sur le site du CNDP.
http://www.cndp.fr/lire-au-cp/une-annee-au-cp/
La littérature à l’école – Liste de référence cycle 2 & 3 – 2013
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=4809
Si votre enfant vous dit en couleurs « Tu sais, je sais lire maintenant ! »
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=5394
Conte écrit en collaboration en direct-live de janvier à février 2014
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=5688
Prix des jeunes lecteurs de l'Oise 2013-2014
le Prix des Jeunes lecteurs de l’Oise a en effet pour objectif de favoriser les échanges entre l'école primaire et le collège autour du livre, mais aussi de familiariser les élèves de CM2 et de 6ème à la littérature et d’aiguiser leur désir de lire.
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/prix_jeunes_lecteurs_oise/
Il était une histoire… Faire grandir le désir de livre
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_mediatheque/?p=1567
Je Lis Libre : des livres gratuits pour les 10 à 14 ans
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=4847
Manuel pour l’apprentissage de la lecture complet et gratuit pour l’année de CP
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=5300
Enseigner à la littérature et aiguiser leur désir de lire.
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_mediatheque/?p=4477
Neuf contes de Charles Perrault (pdf, epub)
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=5292
Lettres de mon moulin d’Alphonse Daudet (pdf, epub, braille)
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=5289
Un mousse de Surcouf – Pierre Maël (e-pub)
http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=5660

source:http://crdp.ac-amiens.fr/cddpoise/blog_petits_lecteurs/?p=5705

Development of the French Language

Évolution de la langue française

French is a Romance language , but it has a number of characteristics that set it apart from the other members of its linguistic family. Here is an extremely simplified synopsis of its development:
There has always been an important linguistic difference between the north and south of France. In 120 B.C. in the southeast of France (known as Gaul at the time), the Romans founded a province and all but replaced the extant Ligurians’ language with Vulgar Latin.* In contrast, the Gaulish (essentially several Celtic dialects) spoken in the north didn’t take a backseat to Latin until 58 B.C., when Julius Caesar conquered the north of Gaul. Thus Latin had some 60 years more influence on the south than the north. A further distinction between north and south was caused by the German Frankish invasion in the 400s A.D., which contributed some grammar, pronunciation, and vocabulary (including the terms “France” and “French”), as these influences were concentrated in the north.
*It is essential to understand that it was Vulgar Latin (common or spoken Latin), rather than classical Latin, from which the French language evolved. 
This linguistic and cultural split eventually led to the emergence of three dialectal regions:
  1. Langue d’oïl (north)
  2. Langue d’oc (south)
  3. Franco-provençal (east)
The first two dialectal regions are named for the way “yes” was said: oïl in the north and oc in the south. Franco-provençal was a sort of intermediary, with various linguistic traits from the north and others from the south. Eventually, these three regions broke down into dozens of regional dialects, such as Parisian French, Picard, and Limousin. The political importance of the Parisian region eventually led to langue d’oïl in general and the French spoken in and around Paris in particular becoming the dominant dialect. However, there are still some 70 spoken dialects spoken in France today. (In addition, several distinct languages are spoken in certain regions, particularly along the border: Basque, Breton, Alsatian, Provençal, etc.)
In the 9th century, Charlemagne attempted to revive interest in and knowledge of Latin with a series of efforts known as la renaissance carolingienne. What he found was that the average person wasn’t even speaking Latin – the common language at this time had already evolved into what we call today Old French. In 842, the first French text, les Serments de Strasbourg, was written.
Old French gave way to Middle French in the 14th century, and in 1539 François I proclaimed the Ordonnance de Villers-Cotterêts, which replaced Latin with French as the official administrative and judiciary language of France.
By the 17th century, French, although still evolving, had matured into a language as dignified as Latin. Writers and grammarians worked to make the language consistent and comprehensible. 1606 saw the publication of the first French dictionary, Thresor de la langue francoyse, tant ancienne que moderne by Aimar de Ranconnet and Jean Nicot. Cardinal Richelieu founded l’Académie française in 1635, and the first Dictionnaire de l’Académie was published 59 years later.
Since then, French has continued to grow and evolve. Immigrants from North Africa have contributed numerous words to French, and of course extensive borrowings from English have led to a mix of French and English, particularly among teenagers, known as franglais.

Les Fables de La Fontaine: La Cigale et la Fourmi

Photo by lolaleeloo2 on Flickr
Photo by lolaleeloo2 on Flickr
Jean de La Fontaine is undoubtedly one of the most famous fabulists (one who writes fables) who ever lived. Born in 1621, he was a contemporary of King Louis XIV and was celebrated for his fables involving talking animals and insects. His works have never waned in popularity and have been translated into dozens of languages.
The following fable is entitled La Cigale et la Fourmi, loosely translated The Grasshopper and the Ant (Cigale is actually a Cicada, a large insect found in warmer climates, typically in the south of France).

La Cigale, ayant chanté
The Grasshopper, having sung

Tout l’été,
All summer long,

Se trouva fort dépourvue
Found herself lacking food

Quand la bise fut venue.
When the North Wind began its song.

Pas un seul petit morceau
Not a single little piece

De mouche ou de vermisseau.
Of fly or grub.

Elle alla crier famine
She went complaining of hunger

Chez la Fourmi sa voisine,
To the Ant her neighbor,

La priant de lui prêter
Begging her for a loan

Quelque grain pour subsister
Of some grain to survive

Jusqu’à la saison nouvelle.
Until the new season.

“Je vous paierai,” lui dit-elle,
“I will pay you,” she said,

“Avant l’août,” foi d’animal,
“Before August,” on an animal’s faith.

“Intérêt et principal.”
“Interest and principal.”

La Fourmi n’est pas prêteuse;
The Ant was not so inclined.

C’est là son moindre défaut.
That is one of her lesser faults.

“Que faisiez-vous au temps chaud?”
“What were you doing all summer?”

Dit-elle à cette emprunteuse.
Said she to the borrower.

“Nuit et jour à tout venant”
“Night and day to each one who came”

“Je chantais, ne vous déplaise.”
“I sang, if you please.”

“Vous chantiez? J’en suis fort aise.”
“You were singing? I’m at ease.”

Et bien! Dansez maintenant.
“Well then! Now you must dance.”

Parlez-vous Français?: A Study of French Expressions (Part 3)

Photo by Tim Morgan on Flickr
Photo by Tim Morgan on Flickr
Let’s discover some more French expressions, some of which may be completely foreign to you.
**Phrase in parentheses is the literal translation, or as close to it as possible.**

Il fait un temps de chien! (It a dog time!) – It’s very bad weather!
Coincer le bulle (Trapping the bubble) – Not doing anything, relaxing.
Par monts et par vaux (By mountains and valleys) – On the move.
Avoir les dents longues (Having long teeth) – Being very ambitious.
Casser sa pipe (Breaking one’s pipe) – Dying.
Tuer la poule aux œufs d’or (Killing the chicken with the golden eggs) – To trade long term benefits  for immediate profits.
Avoir le nez creux (Having a hollow nose) – Having good intuition.
Être un as (Being an ace) – Being the best at something.
Boire du petit lait (Drinking little milk) – To feel satisfied upon receiving compliments.
Pot aux roses (Pot of roses) – A secret or a mystery.
À tombeau ouvert (At open tomb) – Going way too fast.
Mettre le feu aux poudres (Putting the fire to the powder) – Stirring up trouble or aggravating a situation.
S’ennuyer comme un rat mort (Bored like a dead rat) – Being very bored.
Clouer le bec (Nailing the beak) – Silencing someone.
Garder son sang-froid (Keeping one’s blood cold) – Remaining calm or maintaining self-control.
Avoir bon dos (Having good back) – Being easy to blame.
Le roi n’est pas son cousin (The king is not his/her cousin) – He/She is happier than a king.
Sucrer les fraises (Sweetening the strawberries ) – To have shaky hands (referring to the action of sprinkling sugar on strawberries).
Il n’y a pas un chat (There isn’t a cat) – The place is empty or there’s no one here.
Donner carte blanche (Giving the white card) – Giving someone authority to do anything.

Les Fables de La Fontaine: Les Deux Mulets

Photo courtesy of lesfables.fr
Photo courtesy of lesfables.fr
Today we’ll be exploring another of La Fontaine’s fables, this one entitled Les Deux Mulets (The Two Mules). Like the first two, Le Corbeau et le Renard (The Crow and the Fox) and La Cigale et la Fourmi (The Grasshopper and the Ant), this story centers on the (almost human) interaction between two animals.  C’est un peu triste (It’s a little sad), I must admit, but an interesting petite histoire (little story) nonetheless…
(The English translation is not a direct word-for-word translation of the French text, but rather an embellished version and, coincidentally, just as entertaining.)

Deux Mulets cheminaient; l’un d’avoine chargé:
L’autre portant l’argent de la Gabelle.
Celui-ci glorieux d’une charge si belle,
N’eût voulu pour beaucoup en être soulagé.
Il marchait d’un pas relevé,
Et faisait sonner sa sonnette:
Quand l’ennemi se présentant,
Comme il en voulait à l’argent,
Sur le Mulet du fisc une troupe se jette,
Le saisit au frein, et l’arrête.
Le Mulet en se défendant,
Se sent percer de coups, il gémit, il soupire.
Est-ce donc là, dit-il, ce qu’on m’avait promis?
Ce Mulet qui me suit, du danger se retire,
Et moi j’y tombe, et je péris.
Ami, lui dit son camarade,
Il n’est pas toujours bon d’avoir un haut Emploi.
Si tu n’avais servi qu’un Meunier, comme moi,
Tu ne serais pas si malade.


Two mules were bearing on their backs,
One, oats; the other, silver of the tax.
The latter glorying in his load,
March’d proudly forward on the road;
And, from the jingle of his bell,
’Twas plain he liked his burden well.
But in a wild-wood glen
A band of robber men
Rush’d forth upon the twain.
Well with the silver pleased,
They by the bridle seized
The treasure-mule so vain.
Poor mule! in struggling to repel
His ruthless foes, he fell
Stabb’d through; and with a bitter sighing,
He cried, ‘Is this the lot they promised me?
My humble friend from danger free,
While, weltering in my gore, I’m dying?’
‘My friend,’ his fellow-mule replied,
‘It is not well to have one’s work too high.
If thou hadst been a miller’s drudge, as I,
Thou wouldst not thus have died.’

Les Fables de La Fontaine: Le Chêne et le Roseau

Photo courtesy of lesfables.fr
Photo courtesy of lesfables.fr
Le Chêne et le Roseau (The Oak and the Reed) is one of my favorite fables from the 17th century fabulist Jean de La Fontaine. I clearly remember having to recite it in front of the class when I was in second grade. Unlike the previous fables we explored—Le Corbeau et le Renard (The Crow and the Fox), La Cigale et la Fourmi (The Grasshopper and the Ant) and Les Deux Mulets (The Two Mules)—which tell the story of animals and insects, this fable is an interaction between two plants: an oak and a reed.
C’est une histoire remarkable (It’s a remarkable story) and one with avec une bonne morale (a good moral).

Le Chêne un jour dit au Roseau :
Vous avez bien sujet d’accuser la Nature.
Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.
Le moindre vent qui d’aventure
Fait rider la face de l’eau
Vous oblige à baisser la tête :
Cependant que mon front au Caucase pareil,
Non content d’arrêter les rayons du Soleil,
Brave l’effort de la tempête.
Tout vous est Aquilon ; tout me semble Zéphyr.
Encor si vous naissiez à l’abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage ;
Vous n’auriez pas tant à souffrir ;
Je vous défendrais de l’orage :
Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des Royaumes du vent.
La Nature envers vous me semble bien injuste.
Votre compassion, lui répondit l’Arbuste,
Part d’un bon naturel ; mais quittez ce souci.
Les vents me sont moins qu’à vous redoutables.
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu’ici
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos :
Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots,
Du bout de l’horizon accourt avec furie
Le plus terrible des enfants
Que le Nord eût porté jusque-là dans ses flancs.
L’Arbre tient bon, le Roseau plie ;
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu’il déracine
Celui de qui la tête au Ciel était voisine,
Et dont les pieds touchaient à l’Empire des Morts.

The oak one day address’d the reed:
‘To you ungenerous indeed
Has nature been, my humble friend,
With weakness aye obliged to bend.
The smallest bird that flits in air
Is quite too much for you to bear;
The slightest wind that wreathes the lake
Your ever-trembling head doth shake.
The while, my towering form
Dares with the mountain top
The solar blaze to stop,
And wrestle with the storm.
What seems to you the blast of death,
To me is but a zephyr’s breath.
Beneath my branches had you grown,
That spread far round their friendly bower,
Less suffering would your life have known,
Defended from the tempest’s power.
Unhappily you oftenest show
In open air your slender form,
Along the marshes wet and low,
That fringe the kingdom of the storm.
To you, declare I must,
Dame Nature seems unjust.’
Then modestly replied the reed:
‘Your pity, sir, is kind indeed,
But wholly needless for my sake.
The wildest wind that ever blew
Is safe to me compared with you.
I bend, indeed, but never break.
Thus far, I own, the hurricane
Has beat your sturdy back in vain;
But wait the end.’ Just at the word,
The tempest’s hollow voice was heard.
The North sent forth her fiercest child,
Dark, jagged, pitiless, and wild.
The oak, erect, endured the blow;
The reed bow’d gracefully and low.
But, gathering up its strength once more,
In greater fury than before,
The savage blast
O’erthrew, at last,
That proud, old, sky-encircled head,
Whose feet entwined the empire of the dead!

French Grammar: The *NE* explétive

Charleston Harbor Fest, Etoile
*NE*… A two-letter word can be a source of serious confusion for new French learners!
What is it exactly?
It is un adverbe called the “ne explétif.”
When do we use it?
Right after some verbs and conjunctions.
It is used in situations where the main clause has a negative meaning (in the sense of negation), or expressing situations of warning, doubt, or fear.
The ne explétif has a tendency to be forgotten in some cases. You can find it more often in formal French than in slang or colloquial French.
Nevertheless, regardless of your French fluency level, you need to be able to recognize its function whenever you encounter it.
Let us take a few examples:
J’ai peur qu’il ne soit trop tard.
I am afraid it may be too late.
La nuit tomba avant que nous n‘ayons pu trouver un lieu pour dormirThe night fell before we could find a place to sleep.
N’imputons point à l’inquisition plus de crimes qu’elle n‘en a commis
Let us not attribute to the Inquisition more crimes more than it has committed.
If la subordonnée (the subordinate clause) contains a negation, then the “ne” can go with “pas“, as in the following examples:
Ils ont peur qu’il ne soit toujours en vie.
They are afraid that he may be still alive.
Ils ont peur qu’ils ne soit pas encore en vie.
They are afraid that he may not be alive anymore.
Tu ne voleras pas, à moins que tu ne sois roi.
You shall not steal, unless you are a king.
Compare the last sentence with with “à moins que” (“unless”):
C’est difficile à prédire, à moins que tu ne sois un devin 
It is difficult to predict, unless you are a seer
Finally, make sure that you do not confuse the “ne” explétif, with the “ne” of French literature, which we may cover in a next post.
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